Null AVIGNON Comtat Venaissin
CLÉMENT VIII 1592 - 1605
Douzain de billon. (2,12 …
Description

AVIGNON Comtat Venaissin CLÉMENT VIII 1592 - 1605 Douzain de billon. (2,12 g) ♦ B 952 ; PA 4332 ; Dy 1902 URBAIN VIII 1623 - 1644 Double tournois de cuivre 1637 (3,12 g) et 1640 (2,43 g) ♦ B 967 ; Dy 2002 ALEXANDRE VII 1655 - 1667 Luigino d’argent. (2,24 g) ♦ Dy 2031 var. Superbe/T.B. Quatre monnaies. B. T.B. et Superbe.

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AVIGNON Comtat Venaissin CLÉMENT VIII 1592 - 1605 Douzain de billon. (2,12 g) ♦ B 952 ; PA 4332 ; Dy 1902 URBAIN VIII 1623 - 1644 Double tournois de cuivre 1637 (3,12 g) et 1640 (2,43 g) ♦ B 967 ; Dy 2002 ALEXANDRE VII 1655 - 1667 Luigino d’argent. (2,24 g) ♦ Dy 2031 var. Superbe/T.B. Quatre monnaies. B. T.B. et Superbe.

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Famille de SADE. 21 lettres ou pièces, XVIIe-XVIIIe siècles; la plupart in-4, nombreuses adresses avec cachets de cire aux armes (certains sur lacs de soie). Ensemble sur les ancêtres et la famille du marquis de Sade. Jean-Baptiste de SADE seigneur de MAZAN (1601?-1669, colonel de la cavalerie du Pape en Comtat-Venaissin, trisaïeul du marquis). L.A.S., 10 septembre 1656, à M. de Rocquevaire à Marseille, sur la mort de sa mère Mme de Mazan. Richard de SADE seigneur de SAUMANE (1602?-1663, camérier d’Urbain VIII, évêque de Cavaillon, frère du précédent). L.A.S., Rome 2 juillet 1659, à M. de Roquevaire à Marseille, au sujet de l’arrivée de prêtres en Cour de Rome. Gaspard-François de SADE marquis de MAZAN (1669-1739, colonel de l’artillerie et de la cavalerie du Pape au Comtat, grand-père du marquis). 2 L.A.S., [1710], au chevalier de Beauchamps, au sujet de l’achat d’un pré. Plus un reçu signé de sa femme «de Murs de Sade» (Avignon 1754). Jean-Louis, abbé de SADE de MAZAN (1676-1765, frère du précédent, prieur de Sainte-Croix de Maulsang et prévôt de l’église de L’Isle-sur-la Sorgue). P.S., Avignon 25 février 1760, reçu du comte de Sade 150 livres pour sa pension. Oncles et tantes du marquis. – Richard-Jean-Louis de SADE (1703-1789, chevalier de Malte, commandeur, bailli, grand prieur de Toulouse). 3 L.S. à Gaufridy: Saint-Cloud 28 juin 1778, sur son neveu: «La famille a puni le libertin aussitôt qu’elle l’a pû, il ne troublera plus la société. Le Roi et le gouvernement se sont prêtés aux arrangemens qu’il convenoit de prendre pour conserver l’honneur d’une famille qui n’a jamais rien eu à se reprocher»…; 29 décembre 1779; et 26 août 1787 (sur les affaires avec Mme de Montreuil); plus une P.A.S. (1739) et un billet en son nom (1788). – Jacques-François-Paul-Aldonse de SADE (1705-1778, abbé commendataire d’Ébreuil, biographe de Pétrarque). 2 L.A. à son frère le comte de Sade, Avignon 8 et 10 septembre [1762], concernant la succession de leur mère; L.A.S. à Ripert, viguier de Mazan, Saumane 20 novembre; L.A.S. au notaire Fage, 13 juillet 1771, concernant les droits des seigneurs de Mazan. – Henriette-Victoire de Sade, marquise de VILLENEUVE-MARTIGNAN (1715-1798). L.A.S. à Ripert, viguier de Mazan, se plaignant de sa conduite à son égard. Jean-Baptiste-Joseph de SADE D’EYGUIÈRES: 3 L.A.S. à Gaspard Gaufridy, Eyguières et Carpentras 1782-1783, concernant les archives de sa famille. Plus une L.A.S. de sa femme, née Émilie de BIMARD, Aix 5 août 1789, au même, pour faire vérifier sa généalogie dans les archives de Saumane; et une L.A.S. de Marguerite Le Gouche de Saint-Étienne, comtesse de Sade d’Eyguières, à son père; plus une L.S. «Mignot Ve Sade» au général Pascalis, Tarascon 15 messidor VIII. On joint un ensemble de 22 documents concernant la famille de Sade, et leurs seigneuries de Mazan, Saumane et La Coste, 1698-1800: cession de droits, procurations, bail, comptes (compte de Ripert avec la marquise de Sade pour la terre de Mazan), procédures, délibérations de la communauté de Mazan, inventaire, reçus; lettres, principalement à Gaspard Gaufridy, concernant notamment le marquis de Sade; plus un acte en latin de 1456, et 2 mémoires imprimés.

École du BASSANO ; XVIIe siècle. "Prière au jardin". Huile sur toile. Reliure collée sur carton. Présente des restaurations. Dimensions : 73 x 94,5 cm ; 84 x 106 cm (cadre). Ce tableau de dévotion représente Jésus au Jardin des Oliviers au moment où l'ange le réconforte, tandis que ses disciples Pierre, Jean et Jacques dorment à ses côtés (Matthieu : ch. 26 v. 37 ; Marc : ch. 14 v. 33). Les Évangiles racontent que, affligé par une étrange tristesse, Jésus est allé prier sur le mont des Oliviers, où les apôtres l'ont suivi. Une fois sur place, Jésus se retire sur le côté pour prier, le moment de la crucifixion lui devenant présent. Cet épisode marque le début de la Passion sanglante dans l'âme du Christ. Les apôtres tombent dans un profond sommeil et un ange apparaît à Jésus pour le réconforter. En fait, cet épisode fait allusion à la plus grande tentation de la vie de Jésus, la dernière de toutes : connaissant son destin, il peut soit fuir ses ennemis, soit continuer à accomplir sa mission divine au péril de sa vie. D'un point de vue formel, nous pouvons rattacher cette œuvre à l'école Bassano, une saga familiale clé pour le développement de l'école maniériste vénitienne. Son fondateur est Jacopo Bassano (ca. 1515 - 1592), bien que son père ait déjà été un artiste populaire, de qui Jacopo a appris le ton costumier dont il a doté la plupart de ses compositions religieuses. Artiste de grand succès en son temps, Jacopo Bassano a travaillé à Venise et dans d'autres villes italiennes, et a établi un atelier dans sa ville natale de Bassano del Grappa, près de Venise. C'est là que ses quatre fils, qui ont perpétué son style, ont été formés et ont développé leur carrière : Francesco le Jeune (1549-1592), Gerolamo (1566-1621), Giovanni Battista (1553-1613) et Leandro (1557-1622). Elle présente des restaurations.