Null François, duc d'ALENÇON (1554-1584) quatrième fils d'Henri II et Catherine …
Description

François, duc d'ALENÇON (1554-1584) quatrième fils d'Henri II et Catherine de Médicis, il devint en 1576 duc d'Anjou par la « paix de Monsieur », il intrigua avec les protestants, et tenta de prendre le pouvoir en Flandre. L.S. avec compliment autographe « Vretres humble et tres obéissant frere et subgetFrançoys », Paris 22 mars 1570, à Charles IX ; 1 page in-fol., adresseavec sceau aux armes sur papier (légères rousseurs). Belle supplique au Roi son frère. Il le prie d'accorder aux cinq de ses officiers qui ont dénoncé l'usurier qui est en ce moment jugé, les gratifications auxquelles ils ont droit : « Monseigneur, il y a cinq de mes officiers qui ont esté avertis de quelque confiscation preste à juger, a lencontre d'un accusé et prévenu d'usure, par vostre procureur. Et désirant quilssoyentgrattifiez du don quils vous en requierent. Jay bien osé vous escrire la presente pour vous supplier treshumblement, Monseigneur, de leur vouloir en ma faveur, sil vous plaist accorder »…Ancienne collection Marcel Deviq.

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François, duc d'ALENÇON (1554-1584) quatrième fils d'Henri II et Catherine de Médicis, il devint en 1576 duc d'Anjou par la « paix de Monsieur », il intrigua avec les protestants, et tenta de prendre le pouvoir en Flandre. L.S. avec compliment autographe « Vretres humble et tres obéissant frere et subgetFrançoys », Paris 22 mars 1570, à Charles IX ; 1 page in-fol., adresseavec sceau aux armes sur papier (légères rousseurs). Belle supplique au Roi son frère. Il le prie d'accorder aux cinq de ses officiers qui ont dénoncé l'usurier qui est en ce moment jugé, les gratifications auxquelles ils ont droit : « Monseigneur, il y a cinq de mes officiers qui ont esté avertis de quelque confiscation preste à juger, a lencontre d'un accusé et prévenu d'usure, par vostre procureur. Et désirant quilssoyentgrattifiez du don quils vous en requierent. Jay bien osé vous escrire la presente pour vous supplier treshumblement, Monseigneur, de leur vouloir en ma faveur, sil vous plaist accorder »…Ancienne collection Marcel Deviq.

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