Null Torche officielle des Xe Jeux Olympiques d'hiver de Grenoble 1968.
Importan…
Description

Torche officielle des Xe Jeux Olympiques d'hiver de Grenoble 1968. Important flambeau en tôle cuivrée constitué d'un long manche garni d'une prise en feutrine rouge, surmonté d'un manchon protecteur dont le corps, cachant le brûleur, est orné de trois insignes argentés figurant l'emblème officiel des Jeux par Roger Excoffon, le sommet, servant de coupe-vent est découpé en forme de lames. Le motif ornemental en forme de toupie à la base du manche est estampillé du logo de la STEFI et porte le numéro N7. Hauteur: 76,5 cm Diamètre du manche: 4,2 cm, du fourneau: 9 cm. Petits chocs, usures et oxydation. Cinquante ans après les Jeux de Grenoble qui virent briller les étoiles françaises Jean-Claude Killy, Marielle Goitschel, Guy Périllat, Léo Lacroix, ce majestueux flambeau est un précieux témoin. Vecteur de la flamme olympique lors du relais qui parcourut la France en cinquante étapes, sur plus de 7 000 km, entre le 19 décembre 1967 et le 6 février 1968, il fut salué par près de deux millions de spectateurs au long de son parcours. Entre le premier relayeur, le marathonien Alain Mimoun (médaille d'or aux Jeux de Melbourne 1956) et le dernier, le patineur Alain Calmat (médaille d'argent aux Jeux d'Innsbruck 1964), la flamme sacrée passa entre les mains de 5.000 sportifs de tous niveaux, de tous âges et de toutes disciplines. Incarnation de l'idéal sportif, la flamme symbolise le feu sacré qui brûlait en permanence devant les temples du sanctuaire d'Olympie. Aujourd'hui, reliant les jeux modernes aux jeux antiques, le feu est toujours allumé par le soleil, à l'aide d'un miroir parabolique, par des prêtresses en costumes antiques au cours d'une cérémonie dans les ruines du temple d'Héra à Olympie. C'est en 1936 que, reprenant le principe des messagers olympiques qui s'en allaient proclamer la trêve sacrée pour la durée des jeux, fut créé le premier relais olympique moderne; et la flamme, véhiculée par une torche, parcourut de mains en main

Torche officielle des Xe Jeux Olympiques d'hiver de Grenoble 1968. Important flambeau en tôle cuivrée constitué d'un long manche garni d'une prise en feutrine rouge, surmonté d'un manchon protecteur dont le corps, cachant le brûleur, est orné de trois insignes argentés figurant l'emblème officiel des Jeux par Roger Excoffon, le sommet, servant de coupe-vent est découpé en forme de lames. Le motif ornemental en forme de toupie à la base du manche est estampillé du logo de la STEFI et porte le numéro N7. Hauteur: 76,5 cm Diamètre du manche: 4,2 cm, du fourneau: 9 cm. Petits chocs, usures et oxydation. Cinquante ans après les Jeux de Grenoble qui virent briller les étoiles françaises Jean-Claude Killy, Marielle Goitschel, Guy Périllat, Léo Lacroix, ce majestueux flambeau est un précieux témoin. Vecteur de la flamme olympique lors du relais qui parcourut la France en cinquante étapes, sur plus de 7 000 km, entre le 19 décembre 1967 et le 6 février 1968, il fut salué par près de deux millions de spectateurs au long de son parcours. Entre le premier relayeur, le marathonien Alain Mimoun (médaille d'or aux Jeux de Melbourne 1956) et le dernier, le patineur Alain Calmat (médaille d'argent aux Jeux d'Innsbruck 1964), la flamme sacrée passa entre les mains de 5.000 sportifs de tous niveaux, de tous âges et de toutes disciplines. Incarnation de l'idéal sportif, la flamme symbolise le feu sacré qui brûlait en permanence devant les temples du sanctuaire d'Olympie. Aujourd'hui, reliant les jeux modernes aux jeux antiques, le feu est toujours allumé par le soleil, à l'aide d'un miroir parabolique, par des prêtresses en costumes antiques au cours d'une cérémonie dans les ruines du temple d'Héra à Olympie. C'est en 1936 que, reprenant le principe des messagers olympiques qui s'en allaient proclamer la trêve sacrée pour la durée des jeux, fut créé le premier relais olympique moderne; et la flamme, véhiculée par une torche, parcourut de mains en main

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