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PETITE TABLE VOLANTE TRANSFORMABLE EN JARDINIÈRE France, dernier quart du …
Description

PETITE TABLE VOLANTE TRANSFORMABLE EN JARDINIÈRE France, dernier quart du XVIIIe - début du XIXe siècle (?) Bâti de noyer et résineux ; acajou et placage d'acajou ; bronzes dorés et zinc H. 72 cm, L. 41 cm, P. 35 cm Notre petit meuble de salon en acajou d’un évident sens pratique, présente un décor géométrique sur toutes ses faces de bronzes dorés dessinant sur les quatre panneaux un motif hexagonal souligné de rangs de feuilles d’eau et de feuilles de chêne en agrafes. Les montants sont cannelés et rudentés de bougies en bronze doré. Ils sont prolongés par des pieds fuselés réunis par une tablette d’entretoise ceinte d’une galerie en bronze au repercé à décor de piastres ajourés, ce motif se répète tout autour du plateau. L’absence d’estampille ne permet pas d’identifier l’auteur de cette jardinière. La qualité de construction, la pureté des formes néoclassiques et la richesse des bronzes indiquent cependant une création d’un ébéniste talentueux du règne de Louis XVI ; on pourrait ainsi rapprocher ce travail de l’Œuvre de Pierre Garnier (1726/27-1806), ébéniste qui excella dans la réalisation de mobilier d’acajou dans le grand respect du style de la fin du XVIIIe siècle. On observe ainsi par exemple cette rigueur architecturale, renforcée par de grands aplats d’acajou et l’emploi important des bronzes dans un meuble de toilette conservé à la Wallace Collection de Londres (fig. 1)

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PETITE TABLE VOLANTE TRANSFORMABLE EN JARDINIÈRE France, dernier quart du XVIIIe - début du XIXe siècle (?) Bâti de noyer et résineux ; acajou et placage d'acajou ; bronzes dorés et zinc H. 72 cm, L. 41 cm, P. 35 cm Notre petit meuble de salon en acajou d’un évident sens pratique, présente un décor géométrique sur toutes ses faces de bronzes dorés dessinant sur les quatre panneaux un motif hexagonal souligné de rangs de feuilles d’eau et de feuilles de chêne en agrafes. Les montants sont cannelés et rudentés de bougies en bronze doré. Ils sont prolongés par des pieds fuselés réunis par une tablette d’entretoise ceinte d’une galerie en bronze au repercé à décor de piastres ajourés, ce motif se répète tout autour du plateau. L’absence d’estampille ne permet pas d’identifier l’auteur de cette jardinière. La qualité de construction, la pureté des formes néoclassiques et la richesse des bronzes indiquent cependant une création d’un ébéniste talentueux du règne de Louis XVI ; on pourrait ainsi rapprocher ce travail de l’Œuvre de Pierre Garnier (1726/27-1806), ébéniste qui excella dans la réalisation de mobilier d’acajou dans le grand respect du style de la fin du XVIIIe siècle. On observe ainsi par exemple cette rigueur architecturale, renforcée par de grands aplats d’acajou et l’emploi important des bronzes dans un meuble de toilette conservé à la Wallace Collection de Londres (fig. 1)

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