ADER – Eugène Printz, vedette d’une vente d’arts décoratifs
vendredi 07 juin 2019
Experts : Emmanuel EYRAUD assisté de Laurie-Anne CHEVREUX & Carole FEREZ
Vendredi 7 juin, la maison Ader proposait une prestigieuse vente d’arts décoratifs et de sculptures totalisant 1,9M€*. Le mobilier d’Eugène PRINTZ (1889-1948) a particulièrement séduit les enchérisseurs. Un meuble de salon en placage de bois de palmier créé par le designer et Jean DUNAND (1877-1942) en 1934 s’est envolé à 409 600 €*, soit plus du double de son estimation haute (lot 134).
Appartenant à la collection personnelle d’Eugène Printz avant de rejoindre celle de son légataire universel, un cabinet moderniste en palmier et placage de palmier réalisé vers 1935 est parti à 59 600 €* (lot 135) et une banquette moderniste en placage de palmier également a été vendue 56 320 €* (lot 136).
Printz est inclassable. Il marque les arts décoratifs du XXe siècle grâce à une habile synthèse du modernisme, du classicisme et du baroque. Avec une grande rigueur d’exécution, il rend le baroque presque minimaliste et redonne à la grande tradition de l’ébénisterie française l’usage de la modernité.
*Frais inclus
Vendredi 7 juin, la maison Ader proposait une prestigieuse vente d’arts décoratifs et de sculptures totalisant 1,9M€*. Le mobilier d’Eugène PRINTZ (1889-1948) a particulièrement séduit les enchérisseurs. Un meuble de salon en placage de bois de palmier créé par le designer et Jean DUNAND (1877-1942) en 1934 s’est envolé à 409 600 €*, soit plus du double de son estimation haute (lot 134).
Appartenant à la collection personnelle d’Eugène Printz avant de rejoindre celle de son légataire universel, un cabinet moderniste en palmier et placage de palmier réalisé vers 1935 est parti à 59 600 €* (lot 135) et une banquette moderniste en placage de palmier également a été vendue 56 320 €* (lot 136).
Printz est inclassable. Il marque les arts décoratifs du XXe siècle grâce à une habile synthèse du modernisme, du classicisme et du baroque. Avec une grande rigueur d’exécution, il rend le baroque presque minimaliste et redonne à la grande tradition de l’ébénisterie française l’usage de la modernité.
*Frais inclus